Monumental Energy Corp. a annoncé le début des opérations de reconditionnement des puits Copper Moki-1 et Copper Moki-2, situés dans le bassin de Taranaki, en Nouvelle-Zélande. Le programme de reconditionnement, mené en collaboration avec le partenaire de la société, New Zealand Energy Corp., consiste à ré-entrer dans les deux puits afin de nettoyer le fond, de remplacer les tubes et les tiges, et de perforer la formation Messenger. L’objectif est de rétablir la production à partir des sables de Mt. Messenger et de résoudre les restrictions de débit identifiées lors des opérations précédentes.
Messenger. L’objectif est de rétablir la production des sables de Mt. Messenger et de résoudre les restrictions de débit identifiées lors des opérations précédentes.
De plus, les puits n’ont jamais fait l’objet d’un remplacement complet des tubes ni d’un nettoyage du sable, ce qui offre à Monumental la possibilité de perforer une zone non exploitée. Après être restés inactifs pendant 18 mois, les puits présentent également un potentiel d’augmentation significative de la production de rinçage, renforcé par la perforation prévue d’un intervalle supplémentaire de 5 mètres dans la formation Mt. Messenger.
Faits saillants des travaux de reconditionnement de Copper Moki-2 : Le puits de 2 084 mètres fera l’objet d’opérations similaires à celles de Copper Moki-1, notamment un remplacement complet des tubes et un nettoyage complet du puits. Un nouveau système de pompe et de tige sera installé pour permettre la production de la zone nouvellement perforée. Comme pour Copper Moki-1, la pression du puits est inférieure de plusieurs centaines de psi à la pression hydrostatique, ce qui suggère des conditions favorables pour le rabattement et la production précoce.
Les opérations sur le terrain devraient être terminées dans les prochaines semaines, et les premiers résultats de production sont attendus peu après. À ce jour, le programme reste dans les limites du budget ; Monumental ne prévoit pas de dépenses supplémentaires avant la fin des travaux de reconditionnement et le début de la production de rinçage. Le total des dépenses à ce jour s’élève à environ 560 000 dollars néo-zélandais (460 000 dollars canadiens).